La majorité des acquéreurs ne sont pas des sachant. Quand on achète un bien en VEFA on voudrait pouvoir faire une confiance aveugle au promoteur. Or dans certains cas on s’aperçoit vite que les choses ne sont pas si simples. Il peut vite s’installer des doutes et très vite les acquéreurs profanes se sentent démunis et seuls. Ce constat n’est pas un cas isolé et se présente bien plus que l’on ne le pense, tant que l’on est pas confronté à cette situation. Éviter que le rêve ne se transforme pas en cauchemar.
Sans vouloir être pessimiste, car tous les promoteurs ne sont pas de mauvaise foi et certains sont même excellents . Bref, le métier de promoteur est une activité sensible et risquée qui demande de la maîtrise et de l’expérience. Par exemple, on constate souvent sur le marché des » petits promoteurs » qui s’essayent à la profession, attirés par l’appât du gain et dont finalement les acquéreurs en font les frais. Avant tout, la première règle d’or avant d’acheter en VEFA et de choisir un major dans le domaine ou de bien se renseigner sur son promoteur avant de réserver.
La vente en l’état futur d’achèvement (VEFA) est un contrat par lequel l’acheteur acquiert un bien immobilier à construire ou en cours de construction. Nous précisons, que tant que l’immeuble n’est pas achevé au sens juridique du terme, la vente en VEFA peut avoir lieu.
Viennent s’adosser les différentes lois et règles de la construction d’ordre général pour la réalisation du bâtiment et de ses abords (liste non exhaustive) :
Règlementation thermique en vigueur au moment du PC
Règlementation acoustique
Règlementation incendie
Parasismique selon les zones
Mais ce dernier paragraphe reste généraliste et échappe à l’acquéreur, qui lui atteint avec impatience la livraison pour profiter pleinement de son bien. Pendant la construction le promoteur peut procéder à des adaptations.
Pendant la construction : les visites sont limitées
La plus-part des promoteurs prévoient généralement 3 visites du bien,
Il faut savoir que toutes ces visites ne sont pas forcément obligatoires, la seule visite qui le soit au regard de la loi est la visite de livraison. Cette étape de livraison est cruciale pour l’acquéreur, et c’est à ce moment là qu’il va falloir être très vigilant.
Bien que l’acquéreur dispose encore légalement d’un mois après la remise des clés pour pouvoir encore emmètre des réserves, ce n’est pas pour cela qu’il faut minimiser l’analyse du bien lors de la remise des clés.
Le promoteur pourrait par la suite vous reprocher que certaines réserves aient eu lieu après la livraison et soient de votre fait (traces, vitres rayées, coups etc…..).
Nous soulignons qu’il n’est pas rare que certains litiges prennent naissance dès la visite cloisons. Comme il est classique que des réserves mentionnées lors de la visite de pré-livraison soient encore présentes à la remise des clés. Dans ce contexte les acquéreurs s’interrogent sur le réel intérêt de la visite de pré-livraison si les réserves mentionnées ne sont pas levées pour la livraison.
Expert VEFA PARIS : l’assistance à pré-livraison ou livraison
L’expert peut vous assister aux différentes visites, sur un ensemble ou à l’unitaire :
Cloisons
Pré-livraison
Livraison
Pour pouvoir remplir correctement sa mission, l’expert vous demandera de lui fournir les documents relatifs au contrat et au bien :
Plan (s), compris plan (s) modificatif (s)
Notice descriptive
TMA (travaux modificatifs acquéreur)
Pour la livraison, le délai imparti par le promoteur est relativement faible. C’est pourquoi il est parfois préférable procéder à l’expertise après la remise des clés. L’expert pourra ainsi prendre son temps pour mieux remplir sa mission d’expertise.
Parfois les débats peuvent être houleux lors de la remise des clés. Pour cette raison, une expertise après remise des clés se fera donc dans un climat plus serein.
Expert VEFA PARIS : en quoi consiste l’expertise VEFA en partie privative ?
Il convient de préciser que l’expertise reste de l’ordre du visuel et sans démontages à ce stade. Cette notion » de visuelle » (vices ou des défauts de conformité apparents, tel qu’indiqué dans le texte de loi) peut laisser croire que l’expert survole l’analyse. Mais ne vous y trompez pas, pour un expert expérimenté l’analyse » visuelle » lui suffit amplement et lui permet de récolter énormément d’informations.
Les écarts constatés, seront consignés dans un rapport avec clichés de situation qui vous sera remis après analyse.
Le vendeur d’un immeuble à construire ne peut être déchargé, ni avant la réception des travaux, ni avant l’expiration d’un délai d’un mois après la prise de possession par l’acquéreur.Des vices de construction ou des défauts de conformité alors apparents. Il n’y aura pas lieu à résolution du contrat ou à diminution du prix si le vendeur s’oblige à réparer
D’ordre générale et non exhaustif les points vérifiés sont les suivants :
Éventuels travaux modificatifs acquéreurs
Le bien relativement au contrat, plan, règles de l’art, normes
Surface au regard des plans annexés à la vente (échantillonnage).
L’expert VEFA peut également vous assister à la livraison des parties communes.
Les tarifs des assistances à livraison en VEFA
Le cabinet ne possède pas de prix unique pour ce type de prestations. Un tarif personnalisé vous sera indiqué en fonction du type d’appartement (ou maison), surface et position géographique.
Des prix de groupe peuvent être envisagés si les expertises se font à la suite (ce qui sous-entend la venue après la remise des clés) pour pouvoir établir un planning d’intervention et optimisation.
Le secteur du bâtiment en quête de main-d’œuvre qualifiée, c’est une certitude, le bâtiment est un secteur en plein bouleversement, et ce, pour plusieurs raisons. D’une part, par son manque accru de collaborateurs et, d’autre part, par la pénurie de matériaux engendrée par les dernières crises sanitaire et géopolitique.
Le bâtiment connaît une pénurie de main-d’œuvre historique
Après le secteur de la santé et de la restauration, le bâtiment est le nouveau secteur le plus touché par la pénurie de main-d’œuvre.
Pourtant, ce ne sont pas les chantiers qui manquent. Les chefs d’entreprise sont même submergés de demandes mais ils rencontrent également d’importantes difficultés de recrutement pour répondre à ces demandes. Les entreprises n’envisagent pas des projets à plus grande ampleur, ce qui est particulièrement problématique pour les TPE et PME qui ont sérieusement besoin de projets d’envergure. Marc PÉROLS fondateur du cabinet EXBA, expert en bâtiment et malfaçons, l’explique : « Les entreprises du BTP sont parfois obligées de refuser des chantiers en raison d’un manque de personnel, bien formé et donc opérationnel. C’est vraiment une situation difficile à vivre. Faire appel à des sous-traitants avec une main d’œuvre non qualifiée peut entraîner des malfaçons et des fissures. Si les règles de l’art ne sont pas respectées, les dossiers en expertise s’accumulent. Je constate une hausse des demandes depuis quelques mois ».
Pour pallier au manque de personnel et continuer d’assurer la réalisation des chantiers en temps et en heure, les entreprises n’ont d’autres choix qu’augmenter le volume horaire de leurs salariés. Certaines équipes travaillent ainsi 70 heures par semaine et parfois même le week-end.
Les bons employés sont donc précieux. Pour les conserver, les entreprises n’hésitent pas à augmenter les salaires et à adapter les heures de travail.
Plusieurs raisons expliquent l’absence de candidats :
Manque de reconnaissance du secteur ;
Manque d’accompagnement des banques pour les petites entreprises (frais importants pour recruter) ;
Population vieillissante (nombreux départs en retraite non remplacés) ;
Faible intérêt pour les métiers de la construction et du bâtiment (métier manuel, conditions de travail difficiles et pénibilité physique) ;
La pandémie a généré moins d’immigration pendant deux ans. Or, l’immigration représente une source importante de main-d’œuvre pour le secteur du bâtiment.
Les jeunes, un public à cibler pour pallier la pénurie de main-d’œuvre ?
Redynamiser le secteur du bâtiment et particulièrement le recrutement devient crucial pour garantir l’avenir des entreprises du secteur. Pour cela, il est important de cibler les jeunes car, bien que l’immigration soit une source importante de main-d’œuvre, il faut aussi miser sur la main-d’œuvre hexagonale.
Mais comment intéresser les jeunes au secteur du bâtiment ? Plusieurs solutions sont possibles et complémentaires.
Dans un premier temps, il serait pertinent que le gouvernement s’implique dans la reconnaissance du secteur du bâtiment comme il le fait pour d’autres secteurs, comme l’armée par exemple, à travers des spots TV et radio. Il faudrait également faire évoluer les mentalités en valorisant les filières professionnelles et l’apprentissage.
De même, les entreprises pourraient, si elles le peuvent, proposer d’autres avantages à leurs salariés et apprentis. Bien que les salaires aient déjà progressé pour atteindre presque le niveau du SMIC pour un apprenti aujourd’hui, d’autres avantages pour pallier les inconvénients du secteur pourraient être proposés. Par exemple, il pourrait être offert aux salariés des moments de détente pour atténuer les conditions de travail difficiles. Les employeurs pourraient aménager les horaires de travail en commençant et en finissant plus tôt lors des fortes chaleurs de l’été, ou encore en réduisant le nombre d’heures travaillées pendant les périodes difficiles comme l’hiver ou l’été et en augmentant celles-ci sur les périodes de mi-saison (automne et printemps).
La main-d’œuvre n’est pas la seule à manquer dans le secteur du bâtiment
Outre la pénurie de main-d’œuvre, le secteur doit aussi faire face à une pénurie de matériaux.
La pandémie de Covid-19 et la guerre en Ukraine ont engendré d’importants problèmes de fabrication et d’approvisionnement. Les entreprises doivent donc temporiser et faire face aux problématiques de transports, à la pénurie de marchandises et aux coûts en hausse.
Ces crises ont effectivement engendré non seulement des délais de livraison à rallonge mais aussi des hausses tarifaires pour la majorité des matériaux utilisés dans la construction. L’acier et la ferraille ont vu leur prix grimper de 35 à 45% entre janvier et mars 2022, le prix de la brique a progressé de 25% en mai et le cuivre a, quant à lui, pris 48%. Selon Christopher Guérin, directeur général, de Nexans, la pénurie de cuivre est d’ailleurs écrite. C’est le résultat d’une carence globale de planification stratégique. Pourtant, les besoins sont immenses : les pays matures font face au nécessaire renouvellement de leurs infrastructures électriques – génération et réseaux – et au grand basculement des énergies fossiles vers les renouvelables. Les pays émergents sont, au même moment, engagés dans une phase d’équipement très rapide. Les tensions vont s’accentuer, le prix ne risquent pas de baisser à moyen terme.
La difficulté pour les professionnels du bâtiment sera donc d’établir des devis puisqu’une fois le devis signé, il est difficile de faire marche arrière. Les entreprises n’auront d’autres choix que de rogner leur marge ou de réduire la validité de leurs devis. Dans certains secteurs, un devis est valable une journée, voire une heure. Au-delà, il doit être corrigé.
Cela n’empêche pas les abus, bien évidemment, notamment dans le bois. L’export a vidé le stock, ce qui fait que les prix ont été multipliés par 3 cette année sur certaines matières.
Selon certains experts, la situation devrait s’améliorer dans les prochains mois. Pour d’autres, la remontée des taux d’usure de la BCE risque de faire dérailler le secteur immobilier, ce qui aura des répercussions dans le BTP. À court, moyen et long terme, le secteur fait face à de véritables menaces qui ne vont pas s’apaiser si une boucle prix-salaire s’immisce dans l’inflation actuelle.
https://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2022/11/batiment-mo.jpg8001200Helder ALVEShttps://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2020/11/expertenbatiment_orange.pngHelder ALVES2022-11-17 23:11:452023-02-08 13:00:44Le secteur du bâtiment en quête de main-d’œuvre qualifiée
Ha ! les travaux d’intérieur, avec l’arrivée des beaux jours peut vous venir l’envie de relooker votre lieux de vie.
Les travaux d’intérieur sont variés (peinture, carrelage, parquet, cloison, plâtre…),
Les travaux d’aménagement ou réaménagement intérieurs sont classés parmi les travaux dits de ‘’second œuvre’’. Ces travaux n’interagissent pas sur la structure de l’immeuble et sont dissociable du bâti.
Bien que ces travaux ne fassent pas partie des travaux dits ‘’structurels’’ le maître d’ouvrage doit cependant bien observer certaines précautions, notamment contractuelles et juridiques.
Il est primordial de bien se renseigner sur l’entreprise avec laquelle on compte contracter, vérifier ses qualifications, demander des références, et surtout les attestations d’assurances de responsabilité civile. Nous rappelons que les délais de rétractations doivent être respectés pour tout contrat signé hors établissement et rentrant dans le cadre de la ‘’ Loi consommation, vente hors établissement’’.
Réaliser les travaux d’intérieur, plusieurs solutions s’offrent à vous :
Vous faites tout vous-même
Vous vous faites assister par un décorateur d’intérieur
Vous refaites la déco du sol au plafond, la peinture dans tous ses éclats !
Ces travaux sont de moindre ampleur, bien que salissants lors des mises en œuvre. Le plus souvent cela consiste en une révision générale des états de surfaces et remise en enduit / peinture. Il est important au stade du devis de bien qualifier le niveau de finition attendue afin d’éviter tous litiges à la livraison. Nous rappelons qu’il existe plusieurs types de niveau de finition au regard du DTU peinture (A ou B), il est important de bien le spécifier au contrat (devis). Le choix de la qualité et aspect final de la peinture sont également importants, tout ne se vaut pas, et le rendu s’en fera sentir.
Les travaux d’intérieur : vous remplacez vos revêtements de sols, la modernité au rendez-vous !
C’est le moment de bien définir vos choix, l’aspect du revêtement, la sensation de contact, la facilité d’entretien, la résistance du revêtement, l’harmonie d’ensemble ……Tous ces facteurs seront à prendre en compte en fonction lors du choix des revêtements en fonction du type de bâtiment, le type de pièce, la fréquence de passage, l’exposition. Bien qu’aujourd’hui le choix des revêtements soient quasi infinis car l’on trouve tous types de matières et pour tous les goûts, il faut cependant que le revêtement soit adapté à l’usage attendu.
Il existe des classifications pour les revêtements de sols, aussi bien pour les revêtements en bois que céramiques ou PVC. Tout ne s’installe pas n’importe où, votre professionnel saura vous conseiller au mieux en fonction des besoins et de la destination des revêtements.
Les travaux d’intérieur : vous modifiez les cloisonnements intérieurs
Ce type de travaux revêt de suite une plus grande ampleur de mise en œuvre. Car si vous remodelez votre intérieur par une redistribution des cloisons, cela induira forcément des travaux complémentaires. Refaire la distribution intérieure nécessitera forcément des modifications au droit de l’installation électrique, peut être de plomberie et chauffage, revêtements de sols, portes de distribution, isolation. L’intervention d’un architecte sera nécessaire afin de réaliser un projet.
In fine :
La créativité n’ayant de limites que l’imagination, laissez parler vos envies. Pour que votre projet passe de l’ombre à la lumière et se matérialise par l’intermédiaire des mains de l’artisan sans encombres, il faut pour cela bien définir le projet en amont de façon clair et détaillée avant de se lancer.
Société d’assainissement expert en inspection vidéo pour vérifier les canalisations intervention en île-de-France
Généralité
Cette technique moderne non destructive répond à de nombreuses problématiques liées aux réseaux d’alimentation et d’assainissement. Les réseaux peuvent rencontrer diverses anomalies ou désordres de fonctionnement tout au long de leur existence, bouchons, fissures, pente non conforme, perforations, écrasements, etc…. Que ce soit pour rechercher un défaut de la canalisation en enterré ou en aérien, où pour une vérification d’entretien, la vidéo-inspection répond à cette attente.
Cette technique peut répondre à la majorité des demandes et des réseaux :
Enterrés
Hors sol
Privatifs ou collectifs
Chez les particuliers
Gaines et fourreaux
Eau potable / eaux usées / et autres liquides ou gaz
Travaux neufs ou anciens / entretiens des réseaux / réparations
Tracé et repérage des réseaux souterrains
Mesurage et relevés des pentes
Désordres
Sinistres
Le principe
Le principe de la vidéo inspection consiste à explorer l’intérieur de la canalisation au travers d’une caméra afin d’obtenir des clichés ou des vidéos exploitables. La prise de clichés ou vidéo est optimale car la tête de la caméra est dotée d’un éclairage surpuissant afin de fournir des images claires et facilement interprétables. Les têtes des différentes caméras peuvent s’adapter à divers diamètres en fonction des canalisations à explorer et de leurs spécificités techniques. Ce procédé non destructif et de pointe permet des vérifications précises, ce qui revient beaucoup moins couteux et beaucoup plus efficace que toute autre méthode de recherche. De plus, en fin d’inspection, un rapport détaillé est fourni ce qui permet d’archiver ou pour tout travail d’étude ou de suivi.
Inspection vidéo des canalisations pour qui ?
Tout le monde peut demander une intervention pour une vidéo inspection. Ce procédé moderne est devenu courant que ce soit dans le monde du contrôle, de la réparation ou de l’entretien.
Professionnels du bâtiment et de la construction
Architectes
Syndics
Bureaux d’études
Experts en bâtiment et experts d’assurances
Gestionnaires de patrimoines ou concessions
Particuliers
Experts techniques et judiciaires
Services de maintenance et entretien
Services d’urbanismes et collectivités
Inspection vidéo des canalisations pourquoi ?
Les raisons sont nombreuses, mais avant tout, cette solution est d’une précision sans pareil et donne des résultats efficaces. Ce qui évite des recherches hasardeuses et de la perte de temps. Son efficacité et maximale avec son rendu télévisé. Cette méthode peut réduire considérablement les coûts d’entretien des réseaux.
Les réseaux
Que ce soit dans le milieu industriel, le milieu tertiaire, public ou domestique. Une fuite sur un réseau peut engendrer de fâcheuses répercutions et conséquences. Notamment sur les réseaux d’eau potable par des pertes et des consommations à la hausse. Pour avoir un aperçu, il faut savoir que le taux de fuite, c’est-à-dire le rapport entre volume d’eau introduit dans le réseau de distribution et le volume d’eau consommé, est de l’ordre de 20% en France, ce qui n’est pas négligeable.
Des fuites dans les canalisations (alimentation ou assainissement) peuvent également engendrer d’autres désordres dans les bâtiments et maisons d’habitation.
Les fuites sur les réseaux enterrés peuvent générer des désordres structurels. Ces fuites peuvent engendrer des affouillements sous les bâtiments créant ainsi des désordres au droit des fondations. Les désordres peuvent varier selon la nature des sols, et principalement dans les sols sableux ou argileux sensibles au RGA (retrait gonflement des argiles). Suivant la nature des murs, les fuites peuvent également générer des remontées capillaires dans les murs des locaux.
In fine
La vidéo inspection est une méthode moderne incontournable pour l’inspection des réseaux. Sa précision et son rendu d’exécution sur toutes longueurs, tous diamètres et tous types de canalisations séduit tous les acteurs de la construction, de la maintenance et de la réparation. Les compagnies d’assurance font également très souvent appel à ce procédé pour tous levers de doutes ou recherche de fuite. La vidéo-inspection peut répondre aussi bien pour la canalisation chez le particulier que pour les réseaux beaucoup plus complexes.
https://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2020/11/expertenbatiment_orange.png00Helder ALVEShttps://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2020/11/expertenbatiment_orange.pngHelder ALVES2021-10-28 18:26:472022-08-22 16:35:56VIDÉO INSPECTION DES CANALISATIONS EN ÎLE de FRANCE
Comment bien réussir son chantier de rénovation, cette question reste très large en termes de réponses possibles. Pour réaliser un chantier de la meilleure façon possible et satisfaire ses clients, il convient de respecter quelques règles simples. Découvrons ensemble les 3 étapes indispensables pour assurer la réussite de votre chantier !
Définir un calendrier pour ses travaux de rénovation
La première étape clé est de mettre en place un calendrier afin d’assurer le suivi de votre chantier. Pour le réaliser, il va falloir prendre compte de nombreuses problématiques à l’instar des difficultés du chantier, du temps nécessaire pour le réaliser ou encore des ressources humaines et du budget que vous avez à disposition. Pensez également à vous laisser une marge de manœuvre pour anticiper d’éventuels retard, cela vous évitera d’avoir des remarques de vos collaborateurs et de vos clients.
Affecter des ressources humaines et matérielles
Une fois que votre calendrier sera clairement défini, il faudra penser à recruter des ressources humaines pour réaliser votre chantier. Il faudra également acheter le matériel nécessaire et prévoir un lieu de stockage pour stocker ce matériel au sein du chantier. Enfin, pensez à prévoir un parking pour que les véhicules puissent se garer.
Tous ces éléments seront définis en fonction du budget de votre client, il faudra donc toujours garder à l’esprit cela en affectant vos ressources humaines et matérielles. Vous devez respecter le budget de votre client pour assurer sa satisfaction ainsi que la rentabilité du chantier !
Il est également indispensable d’assurer la sécurité des personnes présentes. Afin d’augmenter la sécurité sur les chantiers, de nombreuses initiatives voient le jour.
Parmi les plus récentes et innovantes du marché, nous pouvons citer le feu de chantier tricolore Millenium de Lacroix City. Il s’agit d’une solution de signalisation lumineuse temporaire optimale pour l’aménagement de la circulation sur une zone de chantier. Ce feu de chantier a été entièrement pensé pour faciliter la mise en place de vos chantiers tout en sécurisant les agents et les usagers. « Avec cette nouvelle génération de feux temporaires Millenium, nous avons voulu aller plus loin en garantissant aux agents présents sur le terrain une gestion simplifiée et sécurisée de leurs chantiers tout en optimisant la gestion des flux grâce à la version Smart Millenium. » déclare Adrien Thebault, chef de produit chez LACROIX City.
Comment bien réussir son chantier de rénovation: assurer un bon suivi des travaux de rénovation
Sans suivi, il est clairement impossible de réussir correctement la livraison de vos travaux. Il va donc falloir assurer un suivi administratif de votre chantier et faire suivre les informations au bon moment à chaque partie concernée (chefs de travaux, client, agents de sécurités etc.). Cela passe notamment par la transmission des photos du chantier, des bons de livraison, des factures fournisseurs, des acomptes clients, des horaires du chantier ou encore des arrêts maladie. Rare sont les chantiers qui ne rencontrent pas d’imprévus…
Vous devrez donc vous rendre disponible et être réactif en cas de problèmes. Pour cela, n’hésitez-pas à planifier des réunions de chantiers régulièrement afin de recadrer les choses si nécessaire.
Comment trouver des chantiers de rénovation ?
Maintenant que vous avez toutes les clés pour réussir votre chantier, vous vous demandez peut-être comment les trouver ? Afin de vous aider dans vos démarches, de nombreux portails d’appels d’offres publics comme France Marchés existent. Ces portails recensent les appels d’offres issues de la presse quotidienne régionale dans de nombreux domaines et vous permettent donc d’accéder à de nouvelles opportunités pour votre business, notamment dans le BTP et les chantiers.
En cas de complications pendant le déroulement des travaux
Vous pouvez faire appel à un expert en bâtiment pour organisation d’une expertise amiable et permettre une reprise dans les meilleures conditions.
https://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2021/05/chantier-lacroix.jpg5931200Helder ALVEShttps://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2020/11/expertenbatiment_orange.pngHelder ALVES2021-04-30 18:07:252023-02-08 12:44:39Comment bien réussir son chantier de rénovation ?
Professionnel du bâtiment, la garantie décennale vous couvre durant les 10 ans qui suivent la réception d’un de vos chantiers. Mais connaissez-vous bien cette assurance ? Dans quel cas et comment la faire jouer ? Petit focus bien utile pour tout savoir sur la garantie décennale.
Reconfinement : les experts du Bâtiment se mobilisent pour poursuivre
Notre cabinet d’expertises en bâtiment maintient ses activités d’expertises et assistance en ces périodes troublées. La conjoncture est difficile, mais les dossiers continuent à être traités dans le respect stricte des mesures sanitaires pour assurer la sécurité de chacun.
Reconfinement et expertises bâtiment : Les experts en bâtiment maintiennent leurs activités en cette période de pandémie.
L’activité du BTP ne peut pas s’arrêter ! Le contexte économique est trop tendu pour les entreprises et c’est sans compter sur les répercussions psychologiques et autres troubles psychiques.
Face à la reprise de l’épidémie de Covid, un nouveau confinement est entré en vigueur en France, plusieurs mois après un premier épisode de ce type au printemps. Ce nouveau confinement est plus souple que le premier. Le but étant de maintenir une activité économique essentielle.
Les experts du bâtiment maintiennent leurs activités
Face à ce nouveau confinement, les experts en bâtiments s’efforcent de suivent la dynamique de la corporation du BTP. Soit, continuer les missions tout en respectant scrupuleusement les restrictions et protections sanitaires y compris de déplacements. Les missions d’expertises ne sont pas exclusivement liées au monde de la construction, l’expert peut intervenir dans bien d’autres contextes. Malheureusement et malgré la pandémie, les désordres, sinistres et autres griefs continuent à apparaître. D’après nos observations, les expertises judiciaires sont maintenues ainsi que les expertises contradictoires d’assurances ou autres, livraison VEFA, réception CMI ……
L’espoir, la prudence et la bienveillance, des moteurs pour continuer à avancer
Reconfinement et expertises bâtiment :
Nous espérons que les restrictions ne se durcissent pas dans les jours ou semaines à venir, car beaucoup d’entreprises (et commerçants) n’y survivraient pas. Devant cette vague épidémique, nous devons faire attention les uns aux autres, nous protéger les uns les autres. Cela passe, en première approche par le respect et l’application des règles de protections annoncées à minima par le gouvernement. Nous estimons que, l’expert, de par son statut, est déjà soumis à des règles fondamentales de déontologie, de diligence et de bienveillance. Ces règles sanitaires viennent donc, de fait, s’insérer de façon incontestable dans le déroulement des expertises en bâtiment. Ce cas de force majeure, sans précédent, nous oblige à redoubler de vigilance, maintenir l’unité et faire face ensemble pour entrevoir des jours meilleurs.
Inquiétude des agences immobilières syndics et copropriétés
À ce titre, les principales fédérations d’agents immobiliers et de syndics ont aussi assuré qu’elles feraient le maximum, mais leur situation est plus complexe. Les visites de logement vont être interdites et les copropriétés ne pourront tenir leurs assemblées générales.
Le DTU (document technique unifié, établi par la commission générale de normalisation du bâtiment)
UN DTU (OU NF DTU) C’EST QUOI ET POURQUOI ?
DOCUMENTS TECHNIQUES UNIFIÉS
Créé en 1958, le Groupe de coordination des textes techniques dans la construction a pour mission d’établir des « Documents techniques unifiés » (DTU). Ce groupe (1) a fonctionné jusqu’à la mi – 1990, le CSTB en assurant le secrétariat.
L’activité du groupe s’applique exclusivement aux questions relatives au Bâtiment. Cette activité vise à établir en commun les textes techniques se rapportant aux ouvrages traditionnels de bâtiment, afin que ces textes soient utilisés sans discussion par tous et puissent être utilisables par tous.
LES DTU SONT PRINCIPALEMENT
Des Cahiers des clauses techniquesqui indiquent les conditions techniques que doivent respecter les entrepreneurs pour le choix et la mise en œuvre des matériaux dans l’exécution des travaux des différents corps d’état.
Des Règles de calculqui permettent de dimensionner les ouvrages en fonction des conditions d’exploitation.
Les Règles des clauses spécialesqui accompagnent les Cahiers des clauses techniques et, qui précisent la consistance des travaux du corps d’état considéré et les obligations de l’entrepreneur par rapport aux corps d’état voisins.
On trouve aussi des Prescriptionsayant valeur de Cahiers des clauses techniques, qui se rapportent à des techniques particulières, et des Mémentos.
Nota * Les DTU ne font pas partie du code civil, ce ne sont pas des lois au sens propre du terme (mais des normes de la construction). Normaliser ou codifier revient à unifier des méthodes de réalisations ou calculs (Eurocodes). Tous ces documents sont des référentiels qui permettent aux professionnels de s’y référer et également d’évoluer au fur et à mesure que ces documents évoluent. La sinistralité dans la construction est surveillée et recensée, ces documents prennent tout cela en compte dans leurs mises à jour. Le domaine de la construction évolue, des nouvelles techniques et produits voient sans cesse le jour, il est normal et bienveillant que tout cela soit encadré.
UN PEU D’HISTOIRE
La publication des DTU est faite régulièrement dans les Cahiers du CSTB, la version publiée est considérée comme texte authentique.
En juin 1990, le Groupe DTU a décidé que les documents qu’il produisait devraient avoir statut de norme. Cela est apparu nécessaire pour en permettre une utilisation plus large au sein de la Communauté européenne. Pour ce faire, le groupe s’est transformé en Commission générale de normalisation du bâtiment-DTU en élargissant sa composition (2). Son secrétariat est toujours assuré par le CSTB, mais elle s’est dotée d’un délégué Général, chargé de la représenter.
Les DTU existent depuis 1958, il y a à ce jour plus de x documents techniques unifiés classés selon x domaines d’usage. Depuis 1993 les DTU sont progressivement transformés en normes (NF DTU), tous les DTU ne sont pas des normes.
Durant la période de transition cohabitent :
– DesDTU sans statut de normes
– DesNF DTU avec le statut de normes
– DesXP DTU avec le statut de normes expérimentales
– DesFD DTU avec le statut de fascicule de documentation. –
Les normes NF DTU peuvent se composer des documents suivants :
– Des cahiers de clauses techniques (CCT) qui définissent les actions à réaliser pour construire l’ouvrage
– Des cahiers des critères généraux de choix des matériaux (CGM) qui définissent les caractéristiques nécessaires des matériaux pour réaliser l’ouvrage.
– Des cahiers des clauses spéciales (CCS) qui définissent les limites des prestations et obligations envers les autres corps de métier et les conditions de règlement de différent.
– Des mémentos divers concernant des conditions spécifiques de calculs, de sécurité.
LE DOMAINE TRADITIONNEL
Relèvent de ce domaine les travaux réalisés selon :
– Les règles de l’art: il s’agit de pratiques éprouvées de longue date, parfois même non codifiées, qui régissent le savoir-faire d’une profession. (les règles de l’art ne doivent pas rentrer en contradiction, voir s’opposer aux normes).
– Les normes: éditées par l’AFNOR, elles définissent les performances des produits et matériaux. Parallèlement à ces normes « produits », il existe des normes de conception, des normes d’essais et des normes d’exécution.
– Les DTU : documents Techniques Unifiés (ou NF DTU) : normes françaises homologuées, dans un contexte européen). Ils traitent des conditions de mise en œuvre des produits traditionnels. Ils codifient les règles de l’art, et peuvent être révisés en fonction des évolutions des techniques. Ils sont gérés par la Commission générale de normalisation du bâtiment.
– Les règles professionnelles : elles sont rédigées par les organisations professionnelles représentatives et constituent, parfois, le stade préparatoire à l’élaboration ou à la révision d’un DTU.
– Le Pass’Innovation : c’est une procédure d’évaluation technique des innovations initiée au CSTB pour répondre au besoin de rapidité ressenti dans l’intégration en France des solutions techniques méritant un développement urgent, notamment celles contribuant aux orientations données par le Grenelle de l’Environnement. Cette procédure d’évaluation s’adresse principalement aux techniques bénéficiant déjà d’un retour d’expérience réussi ou d’une évaluation étrangère favorable d’aptitude à l’emploi.
– L‘évaluation Technique Européenne (ETE) : elle a été mise en place par le Règlement Produits de Construction (règlement (UE) n°305/2011). L‘ETE succède progressivement aux Agréments Techniques Européens (ATE). L‘ETE est délivrée par un organisme d’évaluation technique, à la demande d’un fabricant, sur la base d’un document d’évaluation européen élaboré en amont. Il s’agit d’une démarche volontaire, nécessaire pour établir une déclaration de performance. Et apposer le marquage CE sur un produit non couvert ou non totalement couvert par une norme européenne harmonisée.
– Les recommandations professionnelles «Règles de l’art grenelle de l’environnement 2012» (RAGE) : ce sont des documents techniques de référence permettant, dans l’objectif d’améliorer la performance énergétique du bâtiment, d’alimenter la révision d’un NF DTU en vigueur voire d’en créer un qui n’existe pas.La prévention des risques techniques : la Commission Prévention Produit (C2P) a été créée, en 1998, à l’initiative de l’Agence Qualité Construction (AQC) avec une mission de prévention des sinistres liés aux produits et aux procédés ainsi qu’aux textes qui régissent leur mise en œuvre. Dans ce cadre, la C2P décide de la mise en observation de familles de produits présentant un taux de sinistralité élevé ou un risque potentiel de sinistres graves ou répétitifs (SYCODÉS). Bien que les différents produits mis en observation ne soient pas mentionnés nominativement dans les listes précitées, la description des familles est suffisamment précise pour que les constructeurs puissent identifier les produits concernés.
APPLICATION DES DTU ET DES NORMES / DTU AUX MARCHÉS DE TRAVAUX DU BÂTIMENT
1. Marchés privés de travaux: En principe, les DTU ne peuvent être imposés que par voie contractuelle, c’est-à-dire seulement s’ils sont visés par les documents du marché. Cependant, la norme NF P 03-001* à laquelle se réfère la quasi-totalité des marchés privés de bâtiment précise que « sauf dérogation portée par les documents particuliers du marché, l’exécution des travaux traditionnels est soumise aux dispositions des Cahiers des clauses techniques, Règles de calcul et prescriptions provisoires ou techniques isolées ayant valeur de Cahiers des clauses techniques DTU existants ». Il y est également dit que les fournitures doivent répondre aux spécifications des normes françaises existantes.
On notera aussi que, le plus fréquemment (voir constamment), que les expertises judiciaires sont rendues par référence à ces documents (sur le plan technique).
*Norme NF P03-001 : applicable aux travaux de bâtiment faisant l’objet de marchés privés.
2. Marchés publics de travaux:
a) Casdes DTUnon transformés en Normes (en situation provisoire)
Ils sont imposés par voie réglementaire.
Cahiers des clauses techniques et Règles de calcul : En application des dispositions du Code des marchés publics, a été institué par décret un Cahier des clauses techniques générales (CCTG) applicables aux marchés publics de travaux. Il est composé de nombreux fascicules.
b) Cas des Normes / DTU
Le décret du 26 janvier 1984 a rendu obligatoire l’application des normes dans les marchés publics. Cela a été précisé par la circulaire du 4 juillet 1986. Cette obligation a été adoptée par le décret du 18 juillet 1990 modifiant le décret du 26 janvier 1984 et la circulaire du 13 février 1991 (dite circulaire Rocard). Cette dernière définit, en particulier, les cinq cas possibles de dérogation.
AVANT-PROPOS COMMUN À TOUS LES DTU
(source) texte copié des préfaces communes des documents techniques unifiés DTU
Un DTU constitue un Cahier des Clauses Techniques types applicables contractuellement à des marchés de travaux de bâtiment. Le marché de travaux doit, en fonction des particularités de chaque projet, définir dans ses documents particuliers, l’ensemble des dispositions nécessaires qui ne sont pas définies dans les DTU ou celles que les contractants estiment pertinent d’inclure en complément ou en dérogation de ce qui est spécifié dans les DTU. En particulier, les DTU ne sont généralement pas en mesure de proposer des dispositions techniques pour la réalisation de travaux sur des bâtiments construits avec des techniques anciennes. L’établissement des clauses techniques pour les marchés de ce type relève d’une réflexion des acteurs responsables de la conception et de l’exécution des ouvrages, basée, lorsque cela s’avère pertinent, sur le contenu des DTU, mais aussi sur l’ensemble des connaissances acquises par la pratique de ces techniques anciennes. Les DTU se réfèrent, pour la réalisation des travaux, à des produits ou procédés de construction, dont l’aptitude à satisfaire aux dispositions techniques des DTU est reconnue par l’expérience. Lorsque le présent document se réfère à cet effet à un Avis Technique ou à un Document Technique d’Application, ou à une certification de produit, le titulaire du marché pourra proposer au maître d’ouvrage des produits qui bénéficient de modes de preuve en vigueur dans d’autres États Membres de l’Espace Économique Européen, qu’il estime équivalents et qui sont attestés par des organismes accrédités par des organismes signataires des accords dits « E. A. », ou à défaut fournissant la preuve de leur conformité à la norme EN 45011. Le titulaire du marché devra alors apporter au maître d’ouvrage les éléments de preuve qui sont nécessaires à l’appréciation de l’équivalence. L’acceptation par le maître d’ouvrage d’une telle équivalence est définie par le Cahier des Clauses Spéciales du présent DTU.
Notre conclusion et synthèse d’après les écrits ci-dessus: les DTU seraient la synthétisation des règles de l’art et de ce qui se fait communément dans la profession pour un résultat optimal et pérenne des ouvrages.
Application de LA LOI
• (extrait) Civ. 3e, 19 juin 2007, n° 06-14.980, RDI 2007. 325, obs. G. Leguay
• Vu les articles L. 241-1, L. 243-8 et A. 243-1 du code des assurances ;
• Attendu que toute personne physique ou morale, dont la responsabilité peut être engagée sur le fondement de la présomption établie par les articles 1792 et suivants du code civil à propos des travaux de bâtiment, doit être couverte par une assurance ; que tout contrat d’assurance souscrit par une personne assujettie à l’obligation d’assurance est, nonobstant toute clause contraire, réputé comporter des garanties au moins équivalentes à celles figurant dans les clauses types prévues par l’article A. 243-1 du code des assurances ;
•Attendu que pour écarter la garantie de la SMABTP,l’arrêt retient quel’attestation d’assurance délivrée par l’assureur mentionne que le contrat garantit les conséquences de la responsabilité incombant au sociétaire pour les travaux de technique courante réalisés avec des matériaux et suivants des modes de construction auxquels il est fait référence dans les documents techniques unifiés ou les normes françaises homologuées ou plus généralement avec des matériaux et suivant des modes de construction traditionnels ou selon des procédés ayant fait l’objet d’un avis technique accepté par l’association des assureurs de la construction et que les travaux réalisés par M. Y… ne correspondent pas à des travaux de technique courante ;
(extrait du document officiel) Qu’en statuant ainsi, alors que la clause qui avait pour conséquence d’exclure de la garantie certains travaux de bâtiment réalisés par M. Y… dans l’exercice de son activité d’entrepreneur faisait échec aux règles d’ordre public relatives à l’étendue de l’assurance de responsabilité obligatoire en matière de construction et devait, par suite, être réputée non écrite, la cour d’appel a violé les textes susvisés;
(C.Civ. Art. 6 « On ne peut déroger, par des conventions particulières, aux lois qui intéressent l’ordre public et les bonnes mœurs »)
CASSE ET ANNULE,
• Ce n’est là que l’illustration d’une jurisprudence constante depuis 2003[1]
• La seule sanction applicable est celle qui résulterait de l’aggravation de risque, au sens où l’entend le Code des Assurances et la jurisprudence.[2]
• Cela suppose donc que l’assureur puisse apporter la preuve de l’existence d’une réponse apportée par l’assuré à une question préalablement posée sur le sujet par l’assureur et la caducité de cette réponse sur la base des techniques mises en œuvre sur le chantier objet du sinistre. •Les stipulations des polices aux termes desquelles les assurés déclarent mettre en œuvre uniquement des techniques courantes, ne constituent pas des déclarations de risque en elles-mêmes si elles ne sont pas la transcription d’une réponse à une question posée par l’assureur ou ne procèdent pas d’une affirmation de l’assuré ou de son courtier lors de la présentation du risque.
• [1] Civ. 3e, 9 juill. 2003, n° 02-10.270, RDI 2003. 543, obs. P. Dessuet, Bull. civ. III, n° 144; Construction.-Urb. 2003. Comm. 250 et 272 – Civ. 3e, 9 juin 2004, n° 02-20.292, RDI 2004. 448, obs. H. Périnet-Marquet ; ibid. 449, obs. P. Malinvaud ; ibid. 452, obs. P. Malinvaud •[2] Cass Civ 3ème 17 avril 2013 N° de pourvoi: 12-14409 Obs P Dessuet RDI 2013 p 338 et Note A Pelissier RGDA 2013 p 859
EXEMPLE : CAS D’UN JUGEMENT (CCMI)
(extrait d’un blog)
« Mon avocat s’est fondé sur le non-respect du DTU » Mon contrat UNCMI prévoit à l’article 1.3 que l’ouvrage doit respecter les règles de l’art…. (On fait référence implicitement au DTU) Toutefois, le TGI précise qu’ en matière de marché privés, le DTU ne s’impose aux parties à l’acte de construction que s’il est contractualisé, c’est à dire si la norme exigée est précisée dans le marché de travaux (cass, civ .3 27 février 2001). A défaut le non-respect du DTU ne constitue pas une non-conformité et un manquement aux obligations contractuelles du constructeur, que ce soit dans le cadre de la garantie de parfait achèvement ou de la responsabilité contractuelle de droit commun, dès lors que celle-ci n’est pas la cause de désordres régulièrement constatés. Or la notice descriptive concernant les planchers ne donne aucune précision concernant la conformité à d’éventuelles règles spécifiques du DTU. »
D’après le résultat du jugement, nous pourrions en tirer deux principes (porté à l’appréciation des lecteurs et de chacun) : 1) Principe incontestable : Pour un contrat de construction avec un particulier, les DTU ne sont pas applicables si le contrat ne les vise pas, »cependant le constructeur reste tenu du respect des règles de l’art » C’est la décision de la cour, citée ci-dessus. ?? 2) Principe contestable à mon sens, l’interprétation restrictive faite par le juge du premier degré, qui regarde exclusivement la notice descriptive pour savoir si le constructeur s’engage à respecter la norme pour réaliser de tels ou tels travaux. (car les DTU ne sont pas cités pour chaque ouvrage du CCMI)
Par conséquent, le juge retient une interprétation strict en se contentant d’analyser exclusivement la notice descriptive pour tels ou tels travaux objet d’un litige. Le juge se réfère à des lois (juge 1er degré), donc au contractuel.
Questions qui aident à la réflexion et auxquelles vous pourriez essayer de répondre (nous pourrons en débattre dans un prochain article)
1/ Qu’en est il si les ouvrages ne sont pas réalisés conformément aux ‘’règles de l’art’’ mais ne présentent pas de désordre(s) matérialisé(s) ?
– Pendant les travaux ?
– Pendant la période de parfait achèvement (réception supposée sans réserves)?
– Après la période de parfait achèvement ?
2/ Si après réception et période de parfait achèvement écoulée, ouvrage non conforme au DTU, mais pas de désordres matérialisés (contractuel, droit civil), l’assurance doit-elle prendre en charge les mises aux normes ?
3/ Que penser de la phrase : l’ouvrage n’est pas conforme aux DTU mais pas aux règles de l’art ? (Phrase prononcée par un expert de justice lors d’un accédit)
Pour simplifier : il y a le droit des assurances et le droit civil qui comprends la responsabilité contractuelle. – En cas de désordre, les experts de justice s’appuient sur les normes, codes, règlementations, etc… pour engager la responsabilité. – En droit civil, on part en matière contractuelle, sur le non-respect d’une obligation. Le constructeur a une obligation de résultat. Ne pas oublier que le contrat fait force de LOI entre les parties.
‘’De l’obligation naît la responsabilité’’
LA COUVERTURE PAR L’ASSURANCE (technicité courante / non courante)
Que disent les fédérations professionnelles et les assurances de la construction ?
(EXTRAIT DOCUMENT FÉDÉRATION FRANÇAISE DU BÂTIMENT ; FFB)
Vérifier la clause de technique courante !!
Comment être sûr que les techniques mises en œuvre et les produits et matériaux que l’on utilise entrent bien dans la clause des travaux de technique courante de son contrat d’assurance ? Que faire si ce n’est pas le cas ?
Un contrat d’assurance : couvre automatiquement tout ce qui entre dans le champ de la clause de technique courante. Cette clause définit ce que l’assureur considère comme les techniques admises, dont le risque est connu grâce à un large retour d’expérience. La Fédération française des assurances a émis des recommandations pour la rédaction de ces clauses. Elle recommande ainsi de couvrir dans la clause de technique courante les travaux, produits ou procédés répondant à l’un des documents ci-dessous au jour de la passation du marché.
Pour des travaux de construction : répondre à une norme homologuée (NF DTU ou NF EN), à des règles professionnelles acceptées par la C2P ou à des recommandations professionnelles RAGE, par exemple NF DTU ou NF EN (European Norm, norme adoptée par le Comité Européen de Normalisation).
Pour des procédés ou produits, disposer : d’un agrément technique européen (ATE) en cours de validité ou d’une évaluation technique européenne (ETE) bénéficiant d’un document technique d’application (DTA), ou d’un Avis technique (ATEC), valides et non mis en observation par la C2P ;
• d’une appréciation technique d’expérimentation (ATEX) avec avis favorable.
• d’un Pass’Innovation « vert » en cours de validité.
• Les mutuelles se conforment à cette clause, voire l’élargissent en y intégrant notamment les techniques traditionnelles, c’est-à-dire les travaux réalisés avec des matériaux et des modes de construction éprouvés de longue date.
EXTRAIT D’UN DOCUMENT SMABTP (Mars 2015)
Les critères techniques de l’assurance construction : L’assurance des travaux (technique courante / non courante)
Le principe :
Les assureurs construction opèrent une distinction entre les « travaux de technique courante », normalement garantis par les contrats et les « travaux de technique non courante » (TNC), qui nécessitent une déclaration préalable. Il s’agit d’une notion contractuelle, définie aux conditions générales des polices d’assurance construction, qui ne recouvre pas obligatoirement la distinction domaine traditionnel/domaine non traditionnel. Par ailleurs, cette notion peut varier d’un assureur à l’autre. En effet, si, généralement, les travaux traditionnels(conformes aux règles de l’art, normes et DTU) sont considérés comme relevant de la technique courante, les réponses peuvent diverger en ce qui concerne les règles professionnelles, les avis techniques et, d’une façon générale, les familles de produits mises en observation par la C2P. Il convient donc de se reporter à la définition de chaque contrat et, dans le doute, d’interroger son assureur.
Notre appréciation :
Donc, être assuré d’ordre général ne suffit pas. Il faut vérifier le type de domaine concerné par les travaux. Et vérifier si l’assurance de l’entreprise couvre les ouvrages réalisés (nomenclatures de métiers). Le maître d’ouvrage doit vérifier la liste des activités couvertes par la garantie civile décennale de l’entreprise. (souvent, certaines entreprises ne vous fournissent pas la partie du document avec la liste des activités couvertes). Exemple : une entreprise peut être couverte pour la réalisation de travaux de maçonnerie, mais pas pour des travaux de couvertures ou d’étanchéité (et pourtant elle a »une décennale »).
Combien de fois nous avons entendu la réponse suivante :
»Si l’entreprise m’a remis une décennale »
d’accord, mais cette décennale couvre t’elle toutes les prestations réalisées sur votre chantier ?
Le maître d’ouvrage n’est pas l’assuré vis-à-vis de l’assurance civile décennale (au regard du contrat d’assurance). Contrairement aux contrats en DO (dommage ouvrage). Le maître d’ouvrage n’a donc pas accès aux modalités du contrat d’assurance de l’entreprise. On pourrait donc en déduire que le seul responsable ‘’du contenu des modalités du contrat d’assurance’’ est le souscripteur qui a adhéré au contrat. Le maître d’ouvrage peut être lésé si le contrat ne couvre pas les travaux exclus par des particularités du contrat, qui lui sont occultées (réalisations d’ouvrages non couverts suite à des mises en oeuvre de technicités non courantes). Il est clair, que le grand public n’a pas forcément connaissance des spécificités entre les technicités courantes et non courantes. Cependant d’après ce qui a été indiqué supra, une technicité non courante pourrait ne pas être couverte par l’assurance, ce qui pourrait porter préjudice au maître d’ouvrage en cas de sinistre.
Le consommateur est cependant protégé :
Article1162 du code civil : Dans le doute, la convention s’interprète contre celui qui a stipulé et en faveur de celui qui a contracté.
– Les clauses des contrats proposés par les professionnels aux consommateurs ou aux non-professionnels doivent être présentées et rédigées de manière claire et compréhensible. Elles s’interprètent en cas de doute dans le sens le plus favorable au consommateur ou au non professionnel.
QU’EN EST-il EN MATIÈRE DE TRAVAUX DE RÉNOVATION ?
Il y a plusieurs idées reçues qui circulent. Et maintes fois nous avons entendu lors d’expertises amiables, la phrase suivante de la part d’entrepreneurs » c’est de la rénovation, on fait comme on peut «
Questions:
1/ Le fait de faire signer une ‘’décharge’’ par le maître d’ouvrage. Stipulant que ce dernier autorise la réalisation de l’ouvrage non conformément aux règles de l’art.
(garde-corps par exemple), exonère-t-elle l’entreprise de sa responsabilité, sachant qu’elle a informé le maître d’ouvrage ? évidemment que non d’autant plus si le maître d’ouvrage et non sachant.
2/ L’entreprise doit-elle s’adapter et faire ‘’comme elle peut’’ en fonction de l’existant, ou réaliser les ouvrages conformément aux règles de l’art ?
La réponse est, on ne peut plus clair :
Lors de travaux de rénovation : Rénover = remettre à neuf, donc les règles du neuf s’applique en rénovation.
Il n’existe pas des DTU pour le neuf et d’autre DTU pour la rénovation (document technique unifiés)
CAS DE LA RÉFECTION »À L’IDENTIQUE » lors d’une prise en charge par les assurances :
Comment réagit-on lors d’une réfection à l’identique, notamment lors d’une prise en charge par les assurances?
Refaire à l’identique, ne veut pas forcément dire, refaire la même erreur en réalisant un ouvrage avec les mêmes vices initiaux, ce qui créerait un cercle vicieux.
La responsabilité de l’entreprise :
Dans quel cadre et sous quelles conditions peut-elle s’exonérer des DTU et réaliser l’ouvrage à l’identique au combien même s’il n’était pas réalisé conformément aux règles de l’art à l’initial?
Les DTU peuvent évoluer, donc, l’entreprise doit-elle réaliser la réfection de l’ouvrage conformément aux DTU en vigueur lors de la réalisation originelle ? Ou doit-elle réaliser la réfection de l’ouvrage conformément au DTU en vigueur au moment de la réfection ? ( sachant que lorsqu’un ouvrage s’incorpore dans un ouvrage ancien indissociable, la responsabilité concerne l’ensemble)
Réponse : lors de la réfection, l’entreprise réalisera les ouvrage conformément aux normes en vigueur au moment de la réalisation. ( voir supra).
Une autre question se pose : UNE NORME DOIT ELLE ÊTRE PAYANTE ?
Ce sujet maintes fois relayer porte à réflexion. Peut on exiger et obliger l’application d’une norme si cette dernière est payante et non portée à la connaissance ou lecture de tous de façon gratuite ? Sur ce sujet également, nous vous laisserons vous faire votre propre opinion.
la norme NFP 03-001 (marchés de travaux) précise que les DTU sont des références en matière de réalisation d’ouvrages.
Les DTU sont la synthétisation des règles de l’art et de ce qui se fait communément dans la profession pour un résultat optimal et pérenne des ouvrages
Le non respect des DTU et/ou prescriptions techniques lors des mise en œuvre en travaux de technicité courante, peut s’opposer à la prise en charge par l’assurance de l’entreprise (aggravation du risque). Ce qui pourrait être interprété comme une non couverture par l’assurance, des travaux exécutés.
Au regard de la responsabilité contractuelle qui engage l’entreprise vis-à-vis du maître d’ouvrage, et afin de pouvoir répondre favorablement à la couverture des travaux réalisés par l’assurance, les travaux réalisés doivent être en accord avec les DTU en vigueur au moment de la réalisation.
Dans ce contexte d’obligation contractuelle et au regard de l’obligation de la responsabilité civile décennale (car l’assurance pourrait rejeter la prise en charge en cas de non respect des normes).
DTU VS RÈGLES DE L’ART : De toute évidence, les DTU doivent être appliqués dans tous les cas ou les ouvrages concernés ont fait l’objet d’une normalisation ou de Clauses Techniques types inhérentes et applicables contractuellement à des marchés de travaux de bâtiment. Sachant, que les DTU pourraient être interprétés comme la synthétisation des règles de l’art incontestables et de ce qui se fait communément de mieux dans la profession pour un résultat optimal et pérenne des ouvrages.
Nota* ce document est une analyse strictement personnelle de l’auteur et à destination d’apporter matière à réflexion et informations et ne peut en aucun cas servir de référence. L’auteur ne peut être tenu pour responsable d’erreurs ou omissions, voir d’écrits portant à confusion. Merci aux sites et rédacteurs de sites depuis lesquels ont été tiré quelques extrais pour cet article.
https://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2019/05/543-fotolia-4350562-reseaux-sociaux.jpg6281200Helder ALVEShttps://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2020/11/expertenbatiment_orange.pngHelder ALVES2020-09-26 14:58:472022-12-23 13:00:38Les DTU et l’application dans les marchés de travaux
Pourquoi faire expertiser un bien avant d’acheter : la réponse la plus évidente est, pour sécuriser votre achat, mais pas que !
L’achat d’une maison ou d’un appartement est le plus souvent l’achat d’une vie pour la majorité des familles. Les capacités d’emprunt du ou des acheteurs sont à leur maximum pour pouvoir acheter le bien. Dans ce contexte tendu, on comprend bien que toute mauvaise surprise financière future peut être désastreuse. Les acheteurs achètent avec le cœur et ne sont pas forcément objectifs face aux éventuelles anomalies du bien qu’ils désirent. L’émotion, le plus souvent l’emporte sur la raison et masque toutes analyses objectives. Cela peut se comprendre car le plaisir est à son comble lors de l’achat, et le plus souvent les acheteurs ne sont pas des sachant en bâtiment.
Comment sécuriser votre achat, qui contacter ?
Justement, ce plaisir et cette joie pendant l’achat doit s’étendre au-delà et dans le temps. Et c’est là qu’intervient l’expert, pour que ce plaisir ne se transforme pas en cauchemar. L’expert vous accompagnera lors d’une visite de votre bien. Sa mission de professionnel du bâtiment, sera d’analyser pour vous le bien immobilier désiré et sous toutes ses coutures. Tout sera mis en évidence, les anomalies, les défauts, les pathologies, les désordres et les travaux à prévoir. Un cliché technique vous sera rendu en fin de mission sous forme de rapport technique général ; vous saurez ce que vous achetez. Si malgré les indications de l’expert (qui pourraient être négatives sur certains points) vous décidez de continuer la transaction, au moins vous le ferez en connaissance de cause.
Pourquoi faire expertiser un bien avant d’acheter ? Pour déceler les anomalies ou vices cachés lors d’un achat immobilier, pas si simple !
Un bâtiment et tous ses composants techniques, sont des ouvrages complexes, seul un œil averti pourrait déceler certaines anomalies. L’expert intervient en toute objectivité et pragmatisme, il n’est pas guidé par l’émotion de l’achat. L’achat dans l’ancien peut s’avérer compliqué en cas de mauvaises surprises ultérieures. La majorité des personnes se croient protégées par le recours ‘’en vices cachés’’, mais ce n’est pas si simple et tout n’est pas »vices cachés », les procédures sont longues et couteuses (le plus souvent judiciaires). L’expertise avant achat prend en compte l’ensemble du bâtiment, couverture, charpente, structure, clos et couvert, équipements techniques, revêtements. Vous pourrez ainsi faire chiffrer les éventuels travaux à budgétiser ou à planifier.
Cela vaut il le coût de faire expertiser un achat immobilier ?
Évidemment, le prix d’une mission d’expertise avant achat ne vaut pas le coup de s’en priver au regard des sommes engagées, et de la tranquillité assurée quelle peut vous procurer pour l’avenir. Faire appel à nos experts avant de s’engager c’est se prémunir de mauvaises surprises et garantir un toit de tranquillité pour vous et toute votre famille.
https://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2020/04/Livraison-VEFA.jpg12101210Helder ALVEShttps://expertenbatiment.fr/wp-content/uploads/2020/11/expertenbatiment_orange.pngHelder ALVES2020-05-31 18:21:142023-02-08 12:27:42Pourquoi faire expertiser un bien avant de l’acheter ?